mercredi 18 septembre 2013

Pour cohabiter avec le sauvage, il faut entrer en contact avec lui.

 Presque trois semaines que la rentrée est passée et non, je ne coure pas après le temps, j'ai juste le sentiment d'être absente du présent, voyez ? 
*moi non plus en fait mais il est 4 heures du matin, et je voulais simplement vous dire que dès que j'aurais trouvé mon rythme et fini de courir après .... ? .... et bien je ? ... c'est clair là ?*



voilà c'est un peu ça ...
absente du présent ou présente dans l'absence, pour mon petit cheval c'est un peu pareil...



D'un autre côté le temps qui passe peut être si lourd, le simple spectacle de la durée de notre conscience n’est pas glorieux, et passe toujours par ces expériences pourries comme l’ennui et l’attente. Il faut toujours combler, réajuster. Mais si cela est souvent fait avec une sorte d'exaltation violente qui vise à oublier le temps qui passe, nous pouvons aussi sentir l’étendue du temps, apprécier les qualités que l’appel du passé et l’attente de l’avenir donnent à notre présent. N’est-ce pas le signe de notre humanité que de sentir le temps passer, plutôt que de chercher à passer le temps ? Ainsi ne rien ressentir , se souvenir du présent ne fait-il pas de nous des êtres IMMORTELS ??? Je suis immortelle !!!!!!!!! 

* c'étai
t le petit délire de la nuit, rien de sérieux juste
 
histoire de passer le TEMPS (enfin le mien hein)*





2 commentaires:

  1. ben voilà ! je rentre du boulot c'était à peu près clair dans ma tête et maintenant ? que fais je ? où vais je ? ha si ! l'aspirateur .... une constante pas glorieuse mais presque un rituel à la vie

    RépondreSupprimer